La confiance motrice

Nuage de mots né des synthèses individuelles d'un atelier que j'ai animé


Apprendre des expériences, réussies ou non, nourrit notre progression. Conscients de ce que nous aimons faire, nous pouvons vivre les perturbations comme des opportunités et agir, plus attentifs, en sortant de notre zone de confort. Pour imaginer des alternatives aux situations établies, la place accordée aux personnes et la confiance qui leur est octroyée sont clés. Au sein des entreprises, elles permettent le dialogue sur l’activité, l’organisation et donc le management.


Sur la base de ce qui anime chacun et la compréhension de nos modes de fonctionnements mentaux, j'aide mes clients à déployer ce dialogue ouvert, source de transformation imperceptible, réelle. Chacun, à son insu, inconsciemment, se « fait son cinéma », intérieur : motivations, culture, histoire, sensibilité et personnalité influent sur l’expérience que nous vivons. Il s'agit de s'adapter en permanence aux contextes ou situations, soi, le(s)collectif(s), le(s) systèmes.
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La confiance, motrice d'attention, démultiplie notre puissance d'agir, notre plaisir de faire. En discernant les données factuelles de nos sentiments, nous pouvons nourrir une coopération efficace et vivante.

 

Harmoniser

Rechercher plaisir et harmonie avec notre environnement est vital : ce qui nous est agréable favorise la plasticité de notre cerveau et accroit notre puissance d’action. Plus efficients dans l’utilisation de nos ressources, nous pouvons conjuguer sérénité et performance, y compris dans des fonctions de direction et de management. S’écouter, respirer à son rythme, garder une part d’attention pour ses sensations peuvent permettre d’amorcer une métamorphose féconde pour nous et nos écosystèmes.

 

Connecter

Exister dans une société, au sein d’une entreprise ou ailleurs, dépend de nos connexions, visibles ou invisibles. Le soutien des technologies, de processus opératoires et de lieux peut nous donner un sentiment de maîtrise. Mais la cohésion au sein d’une société, d'une communauté de travail, d’une équipe, d’un foyer est une question de partage et de ressenti. Nos sens et la façon dont ceux-ci sont conditionnés à réagir façonnent nos rapports avec notre environnement.

 

Distance et proximité

Faire coexister le proche et le lointain, jongler entre « virtuel » et « physique » nécessitent des comportements et règles de savoir-vivre et d'usage adaptés, à tester, à expérimenter dans le temps et l'espace. Acceptés et partagés pour « hybrider utile », ils peuvent contribuer à un monde habitable. Vivre mieux en relation, y compris avec la nature dont nous faisons partie, invite à conjuguer les contraires pour aller de l'avant.


Mieux sentir, mieux connaître ce qui régit nos comportements facilitent l’émergence de solutions adaptées à l’incertitude que nous vivons. Et si nous améliorions la qualité de notre quotidien, individuel et collectif, en résonance avec notre environnement ?